Triste d'un amour perdu un autre va ressurgir pv Midona

* La créature descendit du mur en s'approchant de d'Arti. Mido fit apparaitre une épée vers bleutée dans sa main. *

- C'est finit Murtagh...

* Murtagh la regarda , il se releva difficilement mais se remis à sourire. *

- Tu as un choix à faire Midona... ou tu me tue... ou tu laisse mourir ton mousquetaire...

* Mido tourna la tête, elle vit la bestiole s'approcher de d'Arti, si jamais elle le touchait il n'allait surement pas sans remettre. Elle regarda Murtagh en fronçant les sourcils. La bête vint fonçais sur d'arti mais Mido lui planta sa lame avant qu'elle ne le touche. Pendant ce temps là, Murtagh vint s'enfuir. La bestiole tomba à terre et disparu en petit brin de lumière. Mido regarda d'Arti, elle fit disparaitre la lame et baissa les yeux, la tâche qu'elle avait sur la main c'était arrêté de grossir mais elle était toujours présente. *

* Midona ferma les yeux et se laissa allé dans ses bras, elle se serra contre lui. Elle ne lui en voulait pas et savait qu'elle avait fait le bon choix, sans d'Arti elle n'aurait pas de raison de vivre. Elle murmura. *

- Je t'aime d'Artagnan....

* Elle resta la contre lui, elle était bien et savait que Murtagh vexé n'allait pas revenir, enfin pas ce soir. *

* Midona prolongea tendrement le baisé de d'Artagnan puis elle lui dit gentiment.*

- Ne t'en fait pas... tout va bien mon cœur!!

* Elle se serra encore contre lui, regardant sa main, elle n'arrivait pas à faire disparaitre cette tâche mais elle ne disait rien. Elle posa ses mains dans le dos du mousquetaire. *

- Je t'aime aussi mon amour...

* Il faisait frisquet et ils n'étaient qu'à quelque minute de Versailles. *

- On devrait y aller!!

* Les lumières c'étaient remis à marcher. *

* Mido le regarda gentiment, elle pris doucement son bras et commença à marcher. Plus rapidement que tout à l'heure, à vrai dire même si elle connaissait l'ombre et le crépuscule comme sa poche, elle avait peur, c'était justement à cause de ses expériences qu'elle avait aussi peur. Elle serra doucement le bras de d'Arti, ils ne tardèrent pas à arriver à Versailles. Les soldats les laissèrent entrer. Mido n'avait pas dit un mot pendant le trajet. *